Lien entre la vie de l'auteur et son roman
Page 1 sur 1
Lien entre la vie de l'auteur et son roman
Les deux points principaux qui font lien entre le roman et la vie de l’auteur sont premièrement les idées que dégage le livre et ensuite le duo Koruga-Ghoerghiu.
Premièrement, les idées qui y sont dégagées. Virgil veut faire payer le prix fort aux américains et à la société occidental pour avoir refusé de le libérer lorsqu’il était, lui-même, prisonnier dans les camps américains. Son opposition au communisme était connue mais s’exprima souvent d’une manière relativement déconnectée des faits car, installé à Paris dès l’immédiat après guerre, il ne vécut jamais dans la république populaire puis socialiste de Roumanie. Moins connu du grand public était son opposition à l’américanisme. Anti-américains et s’en vantant, Mgr Gheorghiu avait coutume de dire: «les Américains sont mes ennemis automatiques»! Resté conséquemment un patriote Roumain honnête, il n’était pas prêt à voir l’Europe de l’Est vendue à la haute finance cosmopolite. Il n’en fallait guère plus pour qu’il ait été régulière ment traité d’antisémite ou de fasciste par les intellectuels présumés de la gauche-caviar et de provocateur par la droite atlantiste.
Ensuite, le lien étroit entre Traian Koruga et l’auteur de ce roman. En effet, ce second personnage est le fils d’un prêtre orthodoxe, tout comme lui, il est écrivain et poète à succès qui se met à écrire un nouveau roman qui dénoncera « La révolution de l’esclave technique » et qui s’appellera la vingt-cinquième heure. Tout autant de traits empruntés par l’auteur à sa propre sa vie. Ce personnage passera notamment par les camps d’Allemagne américains, où séjourna aussi Virgil Gheorghiu. De plus, ces deux personnages se verront tout deux attribué des poste engagés, idéologiquement parlant, du coté des forces de l’Axe, dominé par le l’Allemagne nazie contre les Américains et divers alliés. Traian Koruga occupe le poste de directeur de l’institut de culture romaine de Raguse, tandis que Virgil Ghoerghiu occupait le poste d’attaché de presse culturel à Zagreb où les ambassades représentées à l’époque étaient le Japon, l’Allemagne, la Hongrie et la Roumanie.
En un mot, Le lien entre sa vie et le roman est évident. En effet, il est possible de dire que le roman la Vingt-cinquième soit la version romancée de la vie de Virgil Gheorghiu.
wala, j'espère que c'est complet.
Premièrement, les idées qui y sont dégagées. Virgil veut faire payer le prix fort aux américains et à la société occidental pour avoir refusé de le libérer lorsqu’il était, lui-même, prisonnier dans les camps américains. Son opposition au communisme était connue mais s’exprima souvent d’une manière relativement déconnectée des faits car, installé à Paris dès l’immédiat après guerre, il ne vécut jamais dans la république populaire puis socialiste de Roumanie. Moins connu du grand public était son opposition à l’américanisme. Anti-américains et s’en vantant, Mgr Gheorghiu avait coutume de dire: «les Américains sont mes ennemis automatiques»! Resté conséquemment un patriote Roumain honnête, il n’était pas prêt à voir l’Europe de l’Est vendue à la haute finance cosmopolite. Il n’en fallait guère plus pour qu’il ait été régulière ment traité d’antisémite ou de fasciste par les intellectuels présumés de la gauche-caviar et de provocateur par la droite atlantiste.
Ensuite, le lien étroit entre Traian Koruga et l’auteur de ce roman. En effet, ce second personnage est le fils d’un prêtre orthodoxe, tout comme lui, il est écrivain et poète à succès qui se met à écrire un nouveau roman qui dénoncera « La révolution de l’esclave technique » et qui s’appellera la vingt-cinquième heure. Tout autant de traits empruntés par l’auteur à sa propre sa vie. Ce personnage passera notamment par les camps d’Allemagne américains, où séjourna aussi Virgil Gheorghiu. De plus, ces deux personnages se verront tout deux attribué des poste engagés, idéologiquement parlant, du coté des forces de l’Axe, dominé par le l’Allemagne nazie contre les Américains et divers alliés. Traian Koruga occupe le poste de directeur de l’institut de culture romaine de Raguse, tandis que Virgil Ghoerghiu occupait le poste d’attaché de presse culturel à Zagreb où les ambassades représentées à l’époque étaient le Japon, l’Allemagne, la Hongrie et la Roumanie.
En un mot, Le lien entre sa vie et le roman est évident. En effet, il est possible de dire que le roman la Vingt-cinquième soit la version romancée de la vie de Virgil Gheorghiu.
wala, j'espère que c'est complet.
kaimishi- Nombre de messages : 8
Age : 34
Job/hobbies : Etudiant
Humor : heubonnequestion
Date d'inscription : 11/03/2008
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|